Kenneth Blaymore. AKA la coqueluche d’Hollywood. AKA bis le plus beau fessier des États-Unis d’Amérique. AKA ter l’homme responsable de ma passion pour le grand écran et, accessoirement, de mon choix de carrière… Il est mon fantasme absolu depuis les premiers frémissements lubriques de l’adolescence et je me moque des plaisanteries de ma mère à ce sujet. Vous voyez le tableau ? Ok. Maintenant, devinez quel journaliste talentueux a été engagé pour écrire sa biographie ? Je vais passer trois mois aux côtés de ce dieu vivant pour récolter le maximum d’informations à son sujet : je veux de l’inédit, du croustillant ! Pas question de faire une vulgaire synthèse des nombreux articles parus ces quinze dernières années ! En théorie. Sauf que, pour cela, il faudrait déjà qu’il daigne se confier à moi… Entre l’image publique et la personnalité profonde des gens, il y a parfois un gouffre à l’apparence infranchissable. À l’apparence, seulement…